total black look

Comme vous l’avez peut-être remarqué, j’ai décidé depuis quelques temps de faire un peu plus d’articles liés à mes looks en illustrant le tout de photos. J’espère que vous apprécierez !

Le noir, c’est la couleur de l’assurance : pour certains, la couleur la plus classe à porter, mais pour d’autres c’est une couleur triste synonyme de négativité.

Dans cet article, j’ai décidé de mettre en avant un look total black streetwear. Oui, il n’y pas que les costumes et chemises que l’on peut porter en noir pour avoir un style qui symbolise l’assurance que l’on peut avoir en soi.

total black look

Pink is the new black

S’habiller tout en noir ne veut pas forcement dire être en deuil, triste ou alors ne pas vouloir attirer l’attention sur soi.

Avec la multiplication des photos publiées notamment sur Instagram, on se rend compte que ça peut donner un look stylé surtout si on arrive à trouver une petite touche personnelle qui fera toute la différence.

Je dois avouer qu’en général je préfère avoir un look relax et streetwear et ici je me suis fait plaisir en full Adidas avec un look total black, ou presque.

Sur les photos, je porte plusieurs pièces :

total black look

Comment s’habiller en look total black ?

Bonne question ! Que cela soit en style streetwear, look de ville ou chic, le choix de chaque pièce doit se faire minutieusement.

Quand on décide de s’habiller intégralement en noir, il faut prendre le temps de choisir des pièces qui vont aller ensemble tout en mixant les formes et matières.

Par exemple, voici ce que je fais quand je décide de porter un look total black de ville :

  • Jean noir de chez Allsaints légèrement délavé
  • Chaussure boosts en cuir noir intégral de chez Paul Smith
  • Tee shirt noir à encolure dégagée de chez Asos
  • Une veste en cuir Perfecto de chez Allsaints

Ici le look est total black avec un mix de cuir, de jean et de coton pour le tee shirt.

L’histoire du streetwear

Le streetwear est né dans les années 70 aux Etats-Unis. Cette mode n’aurait pas connu cet essor sans les deux marques emblématiques, qui en ont fait l’histoire.

En Californie, c’est à Shawn Stüssy, que revient la naissance de ce lifestyle. Fabriquant de planches de surf, il a eu la brillante idée de floquer des t-shirts de la marque de ses planches. Suivi essentiellement par les surfeurs et les skateurs à ses débuts, le streetwear se décrivait comme des vêtements confortables portés par les skateurs et surfeurs de Los Angeles. Face au succès de ses t-shirts, la marque Stüssy se développe de manière phénoménale, le « mouvement » streetwear devient une tendance mondiale.

Après la popularisation du look californien, la jeunesse new-yorkaise se l’approprie. À New York, le vêtement de rue s’identifie comme un sous-produit des mouvements socioculturels américains (hip-hop, basket, skate et surf) qui a évolué depuis les années 70.

Mais c’est avec l’émergence de la marque Supreme lancée par James Jebbia que le style streetwear a acquis une nouvelle visibilité. Comme Stüssy pour les surfeurs, Supreme, à ses débuts, ne s’adressait qu’aux skateurs et patineurs. En ouvrant son premier magasin à Manhattan en 1994, Jebbia ne s’attendait pas à un tel engouement. Très vite, les autres mouvements de rue new-yorkais s’y identifient et les célébrités de ces milieux lui font une vitrine internationale.

En 50 ans, le streetwear est passé de la rue aux tapis rouges, jusqu’à se hisser aux défilés des grands créateurs et couturiers contemporains.

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